Ce dernier est présenté comme l’opposé du bouton « j’aime », qui permet aux utilisateurs de Facebook de signifier qu’ils apprécient un contenu en particulier (une photo, un lien, un statut, etc.). L’éditeur de sécurité Sophos avait dès lundi averti les internautes sur la diffusion de ce faux bouton. Selon cette société, quand un internaute clique sur lien visant à installer le bouton « je n’aime pas », les pirates derrière cette escroquerie peuvent accéder à ses données personnelles via un formulaire à remplir (e-mail, numéro de téléphone, etc.).
Facebook se prépare à tester un bouton « je n’aime pas »
«Je pense que les gens réclament ce bouton depuis des années, mais aujourd’hui est un jour spécial et je peux dire que nous travaillons sur ce projet?», a expliqué le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, ce mardi 15 septembre lors d’une séance de questions-réponses.
Zuckerberg avait déjà évoqué par le passé la création d’une telle fonctionnalité, à laquelle son groupe s’est pendant longtemps refusé par crainte de voir les commentaires négatifs se multiplier sur la plateforme.
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