(Agence Ecofin) – D’après Fred Matiangi, le secrétaire de cabinet des technologies de l’information, plusieurs cartes SIM non-identifiées sont encore utilisées pour des actes criminels comme des demandes de rançons. Pourtant, en lançant l’opération d’enregistrement des abonnés mobile, le gouvernement partait en guerre contre ce genre d’actes.
Afin de rappeler aux opérateurs télécoms leur responsabilité dans la sécurité des abonnés, il a déclaré qu’ils seront désormais tenus responsables pour tout acte criminel commis par une carte SIM qui n’aura pas été identifiée et qui devrait normalement être désactivée. La personne qui aura vendu cette SIM sans identifier l’acheteur sera aussi arrêtée.
« Nous avons fermement instruits le régulateur de prendre des actions fermes contre tous les opérateurs mobiles et leurs directeur généraux, parce que si vous lisez bien la loi, les présidents directeurs généraux des entreprises de téléphonie mobile ou les chefs individuels sont criminellement responsables », explique Fred Matiangi.
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